Ma carte d'identité Bonjour petit citoyen. Je vais faire dans les règles et me présenter. Je m'appelle Calypso Sutton Sloan. J'ai fêté mon dernier anniversaire le 20 juin et aujourd'hui j'ai 20 ans. Dans le monde cruel du travail je suis mannequin occasionnellement, je fait des études artistiques et je fréquente souvent les Lambda Chi Alpha à mes heures perdues. Souvent, on me dit que je ressemble beaucoup à Barbie Bank Je n'ai pas la grosse tête ! Les gens pensent souvent que je suis stupide en se basant sur mon physique. Il est vrai que je ressemble à n’importe quelle bimbo californienne: je suis blonde, je ne sortirais jamais sans mes extensions capillaires et je passe beaucoup de temps dans les cabines de bronzage. Je fais beaucoup de sport et travail dur pour entretenir ce corps. Je ne suis peut être pas la fille la plus intelligente qui existe mais je suis loin d’être stupide. On me dit souvent que je vis dans le monde des bisounours parce que je crois sincèrement qu’il y a quelque chose de bons en chacun de nous. J’ai du mal à me faire des ennemies et ne reste jamais fâchée après quelqu’un.

Avoue qu'on joue à cache-cache.

Prénom/Pseudo ♢ Crush. Âge ♢ 25 ans . Pays/Région ♢ quelque part en France. Comment trouve-tu le forum ? ♢ vraiment très joli et agréable. Où l'as-tu trouvé ? ♢ sur PRD je crois ( j'ai une mémoire de poisson rouge). Un dernier mot pour OHCU ? ♢ J'ai été un peu perturbé par les doublons d'avatar au début mais je crois que je vais m'y faire J'espère me plaire par ici .

Ma vie pourrait s’assimiler à celle d’une princesse de conte de fée. La seule différence c’est que généralement la vie de ces princesses commences mal et un événement vient tout changé pour leurs offrir une vie de rêve. De mon côté je n’ai eu que la vie de rêve. Je suis née à Los Angeles dans une famille aisée et unie. Je reconnais avoir était top gâtée, j’ai toujours eu tout ce que je voulais sans même avoir à le demander. Devenue adolescente, j’étais une des fille les plus populaire du lycée, j’avais des amies en or, et je multiplié les petits copains, tous plus beaux les uns que les autres. Bien entendu, la vie ne peut pas toujours être si rose. Plusieurs personnes étaient extrêmement jalouses de moi, je les soupçonne même d’avoir monté un club où ils se réunissaient quotidiennement pour dire du mal de moi et lancer les pires rumeurs. Je ne leur jette pas la pierre et je n’ai pas la grosse tête mais je comprend parfaitement pourquoi ils pouvaient m’en vouloir, j’ai conscience que tout le monde n’a pas eu la chance que j’ai eu dans la vie et que ça peut faire mal de voir quelqu’un réussir sans se donner de mal tandis alors que d’autres n’aurons jamais ce que j’avais même en travaillant d’arrache pied. J’ai essayé de les occultés, je n’en avait rien à faire de ce qu’ils pouvaient penser de moi mais malgré le fait qu’LA soit une très grande ville, les rumeurs se dispersent à une vitesse hallucinante. Je ne supportais plus de voir les autres rire à mon passage, les garçons me regardaient aussi différemment, j’étais devenue une fille facile, rien de plus. Je n’ai jamais été habituée à ce que les gens ne m’aime pas, je suis toujours de bonne humeur, toujours ouvertes aux autres, prête à pardonner n’importe quoi à n’importe qui mais l’atmosphère était devenue si pesant qu’il fallait que je m’éloigne d’ici avant de ne plus me reconnaitre. C’est mon père qui m’a fait réagir quand il m’a dit que j’avais perdue ma joie de vivre, il voulait me revoir sourire et que mes yeux se remettent à pétiller. On en a longtemps discuter et finalement la solution était plus qu’évidente. C’était la fin du lycée, je venais de recevoir mon diplôme, le moment était venue de quitter cette ville et de montrer au monde ce que je vaux vraiment. J’avais toujours imaginé que je ferais mes études dans la cité des anges avec mes fidèles amies, je crois que c’est la partie qui me gênait le plus, devoir quitter mes fidèles acolytes, celles avec qui je faisais les quatre cents coups depuis aussi loin que je puisse m’en souvenir. Après en avoir discuté avec toutes les personnes qui comptés pour moi, j’ai finalement choisi l’université de New York, il n’a pas meilleure ville pour démarrer à zéro. Mon père m’y a acheté un petit appartement, m’a laissé un compte en banque bien chargé et voilà que je débarque dans la grande ville avec mes valises. Personne ne sait qui je suis ici, je peut être n’importe qui. J’espère retrouver le style de vie que j’avais avant sans attirer les jalousies de qui que ce soit et je compte bien profiter de tout ce que cette ville pourra m’apporter.