Ma carte d'identité Bonjour petit citoyen. Je vais faire dans les règles et me présenter. Je m'appelle Chloé Léa Gomez. J'ai fêté mon dernier anniversaire le 18 mai 1993 et aujourd'hui j'ai 19 ans. Dans le monde cruel du travail je suis étudiante en psychologie et je fréquente souvent les Beta Theta Pi à mes heures perdues. Souvent, on me dit que je ressemble beaucoup à Rachel Bilson Je n'ai pas la grosse tête ! Je n'aime pas tellement me décrire, après les gens pensent que je me vante ou quelques choses dans ce genre. Je pense que mes amies me décriraient comme étant gentille et généreuse. Je suis toujours prête à aider, même un inconnu. Je suis une jeune fille souriante et marrante, j'aime faire la fête et être entouré de mes amies, je suis très sociable. Mais cela a des inconvénients, je m'attache très facilement aux personnes , je fais confiance trop facilement aussi et j'en paye les pots cassés. J'ai beaucoup souffert dans le passé à cause de la confiance aveugle que j'offrais à certains de mes amies, qui m'ont par la suite trahi. Depuis je me méfie un peu plus. Sinon je suis une jeune femme qui aime s'amuser, je passe pas mal de temps en soirée, j'ai la chance d'avoir une mémoire photographique, de ce fais je retiens facilement mes cours et je n'ai pas besoin de passé 3heures à réviser Physiquement je me trouve plutôt belle. Je suis mince et j'ai de belle formes, je ne mesure pas 1m80 non plus, plus dans les 1m65. Je suis de taille moyenne quoi ! J'ai de très beau cheveux bruns/ châtains et mes yeux sont couleur noisette. Les hommes se retournent souvent sur mon passage dans la rue, j'en déduis que je plais, mais je n'en fais pas tout un plat. Je suis plutôt simple physiquement comme mentalement. .

Avoue qu'on joue à cache-cache.

Prénom/Pseudo ♢ tiite-cindy. Âge ♢ 16ans. Pays/Région ♢ Nord pas de Calais, en France --'. Comment trouve-tu le forum ? ♢ j'aime beaucoup . Où l'as-tu trouvé ? ♢ en fouillant sur google à la recherche d'un nouveau forum rpg. Un dernier mot pour OHCU ? ♢ hâte de rp sur ce forum .

18 mai 1993, une journée ensoleillée comme toujours dans la ville de Barcelone en Espagne. Les terrasses des cafés étaient bondés de monde, on ne voyait nulle-part un visage triste, le soleil était le remède pour tous les malheurs.
Mais mes parents ne profitaient pas du soleil, ils étaient enfermé dans une salle d'accouchement, ma mère serrait tellement fort la main de mon père que ses phalanges en étaient blanches. Je suis sûr que mon père devait avoir peur d'avoir sa main cassée à la fin de l'accouchement.
Je m'y 6 longues heures pour venir au monde, ce fus un soulagement pour mes parents quand ils m'entendirent pleuré. J'étais la meilleure chose qui estpue leur arrivaient.
J'étais une petite-fille heureuse et énergique, je ne pouvais pas rester en place. Dans mon jardin j'étais toujours en train de courir de faire de la balançoire d'apprendre à faire du vélo, je n'étais pas dur à vivre. A l'école j'étais une bonne élève, enfin je n'étais qu'en maternelle, donc ce n'était pas tellement dur.

Je devais avoir 3ans quand ma mère m'annonça que j'allais avoir un petit frère. Il arriva quelques mois plus tard et mes parents décidèrent de l'appelerLorenzo. Mais mon frère était tout le contraire de moi, il dormait toute la journée et en grandissant, il préférait regardé des dessins-animés à la télévision plutôt que de jouer dehors... Mais je l'aimais quand même. Je vivais sur un petit nuage j'ai envie de dire, jusqu'à mes 8ans.
Je dormais dans la chambre la plus éloignée du salon. Nous étions en hiver et mes parents avaient laissé le feu de la cheminée allumée. Il y avait une tempête atroce dehors, j'avais peur que le toit de la maison s'envole...
Je me suis réveillé en plein milieu de la nuit par un énorme bruit qui avait secoué toute la maison. Je me suis levé en catastrophe pour regarder par la fenêtre, notre maison formait un L et je pouvais voir de ma chambre, toute la maison. Je constatai avec effroi que le grand arbre qui se trouvait dans notre jardin était tombé sur la maison, au niveau de la chambre de mes parents qui se trouvaient au-dessus du salon, l'arbre avait tout détruit... Et de ma fenêtre je voyais une épaisse fumé s'échappait de l'endroit où il avait atterrir, je ne savais pas pourquoi. Puis l'odeur de la fumée arriva jusqu'à ma chambre, une odeur de brûlé.
J'ouvris la porte de cette dernière. Je me couvris le visage avec mon pyjama pour réussir à respirer et avança dans le couloir, des larmes coulaient sur mes joues, j'avais peur de ce que j'allais découvrir, j'espérai que tout coeur que mes parents soient encore vivants, (ce que je doutais) et que la fumée n'était rien. Au milieu du couloir se dresser l'arbre qui était tombé, apportant tout avec lui. Il ne restait plus rien de la chambre de mes parents. Je ne sais pas ce qui devait avoir été le plus dur pour moi : comprendre que mes parents ne pouvaient vraiment pas être en vie ou se retrouver en face d'un arbre géant en feu qui commençais à lécher la moquette du couloir ! Je restai planté devant l'arbre en feu pendant quelques secondes avant de rebrousser chemin en courant et de partir m'enfermai dans ma chambre. J'étais prise au piège, il y avait une fenêtre par laquelle je pouvais sortir, mais je risquais de faire une chute de plusieurs mètres.... Heureusement des voisins avaient été réveillés par le bruit que l'arbre avait fait en tombant dans notre maison et avait appelé les pompiers. J'entendais leurs sirènes. J'espérai qu'ils arriveraient à temps, je m'étais assise le plus loin possible de la porte. Je fixais cette dernière effrayée de peur que les flammes la détruise également avant de me détruire moi. Puis je pensai à mon petit frère qui était également dans sa chambre, de l'autre côté de l'arbre en feu. Pourvu que les flammes ne s'aventure pas de se côte !
La sirène des camions de pompier était toute proche, ils devaient être dans le jardin, je réussis temps bien que mal à me relever, j'avais attrapé sur mon bureau une écharpe que j'avais mis devant mon visage, cela devenait de plus en plus difficile à respirer, je partis donc ouvrir ma fenêtre et respira toute l'air que je pouvais. Je regardai par la même occasion si la fenêtre de la chambre de mon frère était ouverte ce n'étais pas le cas... J'avais de plus en plus peur pour mon frère, les pompiers m'avaient vu et un d'eux avait déjà déplier son échelle pour venir me chercher. J'aurai voulu lui dire d'aller chercher mon frère en premier mais j'avais tellement de fumée dans les poumons que je n'arrivais pas à parler. Quand je suis arrivé sur la terre ferme, je leur montrai et leur expliqua comme je pouvais ou se trouver mon frère, mais à peine eu t-il compris que toutes les fenêtres du côté ouest de la maison explosèrent, y compris celle de la chambre de mon frère. J'hurlais voulant aller le chercher, mais il était trop tard..... Trop tard pour aller sauvé mes parents, trop tard pour aller sauver mon petit frère.... Pourtant, j'avais eu la chance de survivre, d'être sauvé, pourquoi cette chance n'avait pas été attribuée à tous les membres de ma famille ???
Quelques heures plus tard, on me transféra dans une famille d'accueil, le temps de trouver des membres éloignés de ma famille qui pourrait s'occuper de moi. Le feu de ma maison avait finalement été éteint, mais il n'y avait plus rien. Tous nos bien avait été brûlés, le corps de mes parents et de mon petit frère avait été retrouver mais dans un état épouvantable.
Voilà comment la petite vie parfaite d'une petite fille de 8ans ce transforme en cauchemar.

Ce fut ma marraine qui eu ma garde, elle habitait en Américaine, j'avais dû quitter l'Espagne, mon pays pour partir dans un pays qui parlait une langue que je ne connaissais pas. Ma marraine avait toujours rêvé de vivre aux États-Unis, elle avait tout quitté pour devenir journaliste à San Francisco, où elle avait rencontré son mari. Elle revenait de temps en temps en pays pour rendre visite à sa famille, mais je ne la connaissais pas tellement.
Ils étaient gentils avec moi, ils essayaient de me faire plaisir, m'achetant ce que je voulais, mais les jouets ne remplissaient pas le vide que j'avais en moi. La petite-fille souriante avait disparu laissant place à une petite fille triste et vide.

Cela faisait 3ans que j'habitais à San Francisco et le vide en moi était toujours présent. Ma marraine avait compris qu'il ne se refermerait pas avec des cadeaux. Et que le mieux pour moi serait de parler de mes sentiments de ce que j'avais ressenti le jour de leur mort. Mais à chaque fois qu'elle abordait le sujet avec moi, je préférai ne pas répondre, ou alors je partais de la pièce, j'avais peur de ce que je ressentais je pense. Elle m'a donc pris rendez-vous chez un psy, au début je n'avais pas envie d'y aller puis je me suis fait à l'idée que j'en avais besoin. Ma psy était d'une gentillesse que je n'aurai pas cru. Au début ce fut elle qui me parla, comme si c'était moi la psy et elle la patiente, elle me parla de sa vie, de son mari de ses enfants, des problèmes que son fils avait dans son collège, que son mari était censé récupérer la petite dernière à la crèche tous les jours après son travail, mais qu'au final il oubliait et que c'était à elle d'aller la chercher après sa dure journée de boulot..... Je passai environ 3séances comme cela, au bout de la troisième elle me demanda si je voulais lui raconter ma journée, ce que je fis. Je me confiai à elle, lui racontant tout, le fait que je me sentais coupable d'avoir survécu alors que les autres membres de ma famille non. Elle me rassura en me disant que je n'y étais pour rien. Que c'était un accident et que mes parents et mon frère sont heureux que j'ai survécu ; que j'avais eu une chance incroyable et qu'il fallait que j'en profite, car elle pourrait partir du jour au lendemain, qu'il ne fallait pas que je me referme sur moi-même et que, au contraire, il fallait que je croque la vie à pleine dent, car c'est ce qu'aurait voulu mes parents, que je reste tels que j'étais avant leurs morts, qu'ils aimaient la petite fille qui était énergique, toujours souriante et pleine de vie. Et qu'ils devaient se demander où cette fille était partie à présent.
Cette psy ma fait ouvrir les yeux. Elle m'a redonner le goût de vivre ce que je n'aurai pas cru possible. J'avais retrouvé le sourire, la joie de vivre et mon énergie.

A présent, j'ai 19ans, et je croque toujours la vie à pleine dent. J'ai toujours cette joie de vivre et le sourire aux lèvres. J'ai décidé de faire des études de psychologie, ce n'est pas un domaine très compliqué, de ce fait je passe beaucoup de temps en soirée, ou avec des amies. Et j'aime ma vie, et je suis sur que mes parents et mon frère sont fière de moi aujourd'hui !!