Ma carte d'identité Bonjour petit citoyen. Je vais faire dans les règles et me présenter. Je m'appelle Anabelle Evy Anderson. J'ai fêté mon dernier anniversaire le 9 avril 1988 et aujourd'hui j'ai 24 ans. Dans le monde cruel du travail je suis suis étudiante en littérature et je fréquente souvent les Psi Upsilon à mes heures perdues. Souvent, on me dit que je ressemble beaucoup à Leighton Meester Je n'ai pas la grosse tête ! ''Souriante, déterminée'' ce sont souvent les qualificatifs que les gens qui pensent me connaître utilisent le plus souvent pour me caractériser, les gens qui ne me voit seulement en surface. Je ne démentirais pas cela, en vérité c'est plutôt juste. Mais les apparences sont souvent bien trompeuses comme le dit le proverbe, il faut juste savoir faire bonne figure. Ce qui est assez amusant d'ailleurs, surtout lorsque les gens se rendent alors compte de qui je suis plus en profondeur, une fille très impulsive, jalouse et manipulatrice. Comme si une jolie petite brunette aux beaux yeux marrons avec un sourire ravageur, d'1m65 ne pouvait pas faire des ravages sur son passage. Alors pour vous, et pour vous éviter des mésaventures, sachez et gardez ceci quelques part dans un coin de votre tête, que lorsque je veux quelque chose, je l'obtiens et ceux par tous les moyens! Qui s'y frotte s'y pique , alors réfléchissez-y à deux fois ! [/i].

Avoue qu'on joue à cache-cache.

Prénom/Pseudo ♢ Neave. Âge ♢ 18 ans. Pays/Région ♢ France/Paris. Comment trouve-tu le forum ? ♢ AWESOME !. Où l'as-tu trouvé ? ♢ by a friend. Un dernier mot pour OHCU ? ♢ Je viens d'arriver , mais je vous aime déja!.

Ecrire l'histoire de sa vie est quelque chose de très dur à mon sens. Comment peut-on retranscrire dans son intégralité, et de manière exacte tout ce qu'on a vécu, ou ressenti. Je pense simplement que notre vie est faites d'évènement marquant, de moments forts qui font de nous ce que nous sommes à l'instant T. C'est les choix que l'on a pu ou dû faire, les épreuves auxquelles on a dû faire face qui ont réellement un intérêt. C'est pour ça que j'ai décidé de seulement vous raconter les chapitres principaux.

Chapitre 1: Insouciance

L'enfance, mot qui fait rêver et qui refait surgir grand nombre de souvenirs, la mienne a plutôt était paisible, fille de bonne famille, je n'ai jamais manqué de rien, mais ce dont j'aime me souvenir ce sont les journées entières passées avec Tania ma petite soeur de deux ans ma cadette. "Allez viens, la voie est libre !" c'était l'une de nos phrases fétiches lorsque l'on jouait aux espionnes de choc pour aller piquer du maquillage, des bijoux , chaussures ou encore des vêtement à notre mère pour jouer aux grandes. Nous étions très complices malgré nos différences, que ce soit physiquement ou moralement. Andie a toujours était plus sensible que moi, calme, et essayer d'être la fille parfaite, pour qu'on puisse être fier d'elle. Moi j'étais plutôt l'inverse, je voulais qu'on puisse être fier de moi mais j'avais mon tempérament et je ne me suis jamais laisser marcher sur les pieds, et j'agis souvent sans prendre en compte les conséquences que mes actes peuvent engendrés. On ne se lâchait jamais, aussi liées que deux jumelles je me souviens même de ce jour, où mes parents voulaient envoyer Andie dans une école prestigieuse, mais cela voulait dire que nous devions être séparées, ce qui m'était alors inimaginable, j'avais alors complètement fichu en l'air la robe de soirée d'Andie afin que nous ne puissions pas nous rendre à la soirée en l'honneur de l'entrée d'Andie dans cette école. Mais ça s'était avant, nous étions toutes petites, et notre insouciance c'est peu à peu évaporée au fur et à mesure que le temps passa. Au moment de l’adolescence nous étions toutes les deux très proches l’une de l’autre mais les disputes et les désaccords plus nombreux. Les cachotteries commencèrent. Mais en ce temps-là nous restions tout de même des sœurs. Et pour elle j’aurais et je serais toujours capable de tout.
Le jour du bal de promo du collège, je me souviens qu’elle avait passé sa journée à s’occuper de moi, m’aider à me maquiller, me coiffer, et m’habiller, et surtout à me remonter le moral dans la mesure où je venais de me faire larguée par mon copain actuel. C’était la pire chose qu’il pouvait m’arriver je crois à ce moment-là. D’un commun accord on avait décidé d’y allé avec ma meilleure amie célibataire. Ce n’était pas le moment pour moi de me morfondre, mais plutôt de faire la fête et de me changer les idées. Je me disais que de toute façon des mecs y en auraient partout à cette soirée et qui remplaceraient très bien mon ex copain, d’autant que je ne voulais pas paraître ai pleurée de cette séparation, je valais mieux que ça.
C’est donc avec une once de plaisir que je me rendais à la fête, la salle était pleine, la musique résonnait, tout semblait parfait. La soirée commença bien, jusqu’à ce que j’aperçoive mon ex au bras d’une autre fille. Et ce fût le début des ennuis, je n’allais pas me laisser humilier ainsi, surtout qu’elle était moyennement jolie. Il fallait une issue de sortie, Matthew était l’issue idéale, bien que venue accompagnée, il m’avait déjà fait des avances à une ou deux reprises lors de soirée, et il était le meilleur ami de mon ex. Il serait ma proie ce soir-là. Je l’ai facilement approché, il connaissait ma situation et je n’eus pas beaucoup de mal à le faire perdre pied. Le regard de mon ex ne cessait de se poser sur nous, il était agaçait, et j’en étais ravie. Finalement j’avais réussie à m’amuser à ce bal de promo. Cependant ma joie redescendit un peu plus tard, il se faisait tard, ma meilleure amie était déjà partie, Matthew se proposa donc pour me ramener chez moi, trouvant ça très gentleman de sa part j’acceptai tout de suite d’autant que je n’avais pas beaucoup d’options s’offrant à moi. Je montais dans sa voiture, il devint alors un peu entreprenant en t’entant de m’embrasser quelques mètres plus loin. Je le laissai faire, après tout il l’avait mérité après le service qu’il m’avait rendu ce soir. Mais il ne s’arrêta pas là, ses mains descendirent sur ma poitrine, puis sur mes hanches, et il vint déposa ses lèvres dans mon cou. Je pris conscience que les choses allaient rapidement dérapés si je ne le stoppais pas tout de suite mais en vain. La voiture était arrêtée, et il était beaucoup trop fort pour moi, il arracha le haut de ma robe, il se trouvait au-dessus de moi me maîtrisant de telle sorte que je ne puisse plus bouger. Il se déshabilla et ce fût trop tard, mes cris , mes pleurs ne semblait pas le déranger, bien au contraire il devait y prendre plus que du plaisir, j’avais mal et il s’en fichait, il ne pensait qu’à se faire du bien à lui, sans culpabilité aucune il me regardait dans les yeux , « tu aimes ça hein !» « je t’en supplie arrête, laisse-moi partir », dès qu’il eut finis il se releva se remis à sa place, me laissant là sans rien dire, jusqu’à ses mots : « Bon tu descends ou quoi, tu veux une invitation peut être, tu voulais partir alors vas-y je te retiens pas ». Je descendis alors en vitesse de sa voiture à moitié nu en plein milieu de la rue et à des kilomètres de chez moi. Les larmes ne cessaient de couler sur mon visage. J’étais tétanisée sur place. Me sentant sale et honteuse, abusée, j’aurais aimé que ceci ne soit plus qu’un mauvais rêve, mes jambes commencèrent à marcher, décidé à rentrer, je ne voulais pas qu’on me voit ainsi dans cet état, et encore moins que quelqu’un sache que Matthew avait obtenu ce qu’il désirait, lui faisant trop plaisir. Personne ne le sût bien que Tania le lendemain se doutait de par mon comportement et par les bleus que j’avais sur le corps, que quelque chose s’était passé, mais elle ne dit rien et fit comme si elle n’avait rien vu, et cru mon mensonge. Aujourd’hui seul Jayden est au courant. Pour moi ceci n’ai jamais arrivé, du moins j’essaye de m’en convaincre.
Je repris le court de ma vie, comme si de rien était, faisant bonne figure, m’obligeant à oublier, bien que certains soir, seul dans mon lit en fermant les yeux je revois ses images, comme un cauchemar éveillé. Andie était quand même là pour moi-même si nous nous sommes éloignés peu à peu les secrets et les cachotteries davantage présents entre nous.

Chapitre 2: Quand rien ne va plus

Un fossé créé, et qui s'est agrandis au fil du temps. Mais davantage lorsque David nous a quitté. Se fût alors la descente aux enfers pour Andie, mais également pour les parents et moi-même. La joie de vivre qui pouvait ressortir de son visage, s'est dissipée brutalement, ses traits étaient devenus secs et durs. Elle avait beaucoup changé, même physiquement, elle se refermait sur elle-même et ne parler plus beaucoup. Je me souviens des heures qu'elle passait enfermée dans la salle de bain. Peut-être pour pleurer sans que personne ne la dérange, du moins c'est ce que je pensais, au début. Mais l'activité réelle était bien plus sombre, elle se faisait du mal, se mutiler et se tailler les poignets. Dès que je pris conscience de ses pratiques, je fût hors de moi en colère contre elle, mais aussi contre moi. C'était ma petite soeur et je ne savais pas quoi faire pour l'aider, je ne trouvais pas les mots pour lui parler, je voulais juste que ça s'arrête et retrouver ma petite Andie que j'aimais tant. Je me souviens d'ailleurs de cette soirée nous étions à table, Jayden mon petit ami à l'époque et le meilleur ami d'Andie était là. Quand soudain Andie se leva de table direction la salle de bain prétextant une migraine affreuse, mes parents n'étant pas au courant et heureusement ma mère ne l'aurait jamais supporté bien qu'elle ait conscience que sa fille cadette était loin d'aller bien.
Je monta alors les escaliers direction la salle de bain, « Andie, repose ça toute suite ! », elle n'avait pas encore eu le temps de faire quoique ce soit, mais la hantise à chaque fois c'est que ce ne soit pas le cas, que j'arrive trop tard et la trouve gisante sur le sol avec les poignets en sang. Mais comment l'en arrêter. Elle n'écouta bien évidemment pas mes conseils et mes craintes reprirent de plus belle puisqu'elle pris une lame de rasoir et s'entrouvrit la peau.« Mais merde ! Est-ce que tu vas m’écouter un jour ? Est-ce que tu vas enfin comprendre que tu fais souffrir tout le monde en agissant ainsi ? Je te déteste ! Si tu savais à quel point je… »
La réalité c'était que tout ça me dépassait, je lui en voulais de nous faire ça. Jayden était lui resté à table avec nos parents respectifs mais quand il m’entendit crier, il se pressa de monter, lui savait ce qu'il se passait, et savait beaucoup mieux réagir que moi, il arriver à l'apaiser mais moi aussi par la même occasion. Il faut croire que c'était le seul qu'Andie acceptait d'écouter. Je en sais comment j'aurais fait sans lui, l'ironie dans tout ça, c'est que Jayden durant cette période était la meilleure chose que j'avais, mais c'était grâce à Andie, qui avait tout fait pour nos rapprocher. Quelques temps, jours plus tard, Andie quitta la maison, sans un mot sur le comment du pourquoi, ni pour quelle destination. Le matin où j'ai ouvert la porte de sa chambre, avec des placards vide, et surtout sans Andie, la peur m'envahit d'un coup. La première personne prévenue fût Jayden, totalement hystérique, je criais et courais partout, les larmes ne cessaient de couler sur mon visage. J’essayai en vain de l'appeler puis de la rappeler sur son portable, malheureusement je n'ai juste réussis qu'à me heurter à sa messagerie, et même si j'avais le plaisir d'entendre sa voix, j'étais à bouts de nerfs "Andie c'est encore moi ! Et oui tu sais ta grande soeur qui se fais du souci pour toi et que t'as laissé planté comme ça !.... bon écoute je sais que tu vas mal, mais si tu pouvais juste me rappeler et me dire que tu vas bien ! Je t'aime". Jayden comme toujours arriva dans les minutes qui suivirent mon appel. Il réussit à me calmer, je ne sais comment, il fût d'un grand soutient. Quelques heures plus tard Hayden tenta de rappeler à nouveau, elle répondit, Andie se trouvait à Paris en France elle en avait informé brièvement mes parents qui n’avaient pas trouvé le temps de me le dire. Soulagée mais déçue, il me fallait accepter son choix, même si je ressentais un grand vide. Ma relation avec Jayden pris fin quelques temps plus tard, bien que toujours en bon terme, mais mes relations amoureuses ressemblent d’ordinaire à des montagnes russes, ne sachant pas faire simple, mes émotions ayant tendances à partir en vrac. Il me fallait avancer et ce que je tente de faire aujourd’hui.

Chapitre 3: Désillusion

Et oui aujourd’hui ma vie semble avoir pris un tournant un peu plus normal dira-t-on, étudiante en littérature, j’ai grandis, et je me suis en quelque sorte renforcée. Je suis prête à construire ma vie. A mes côtés Maxime, c’est sûr lui que je peux compter à présent me confier, et partager quelque chose. Mais mon rêve aujourd’hui, avoir un enfant. On a essayé plusieurs fois, sans résultats, je me alors rendues y a un mois chez ma gynécologue, pour voir s’il y avait un problème, maxime lui s’est rendu chez le médecin également, a fait des tests. Tout semble parfait chez lui, c’est ce que lui a annoncé le docteur, un premier soulagement, sauf que mes résultats étaient loin de l’être … J’ai tout étudié avec attention, et les résultats sont claires, malheureusement , je dois vous dire que vous êtes stériles Là c’est un monde qui s’écroule, mon rêve est devenu mon nouveau cauchemar. Maxime me serra fort dans ses bras « Ce n’est pas grave, on aura un enfant je te le promets, il y a de nombreuses possibilités aujourd’hui ! ». Il ne fallait pas que je me démonte, bien que ce soit dur et qu’aujourd’hui je n’ai toujours pas encaissé tout ceci. Mais moi aussi j’ai le droit au bonheur, et contrairement à ce qu’a toujours penser ma famille, dû à mes relations toujours très compliquées avec les hommes, je veux et je vais leur prouver que je peux avoir une vie simple et heureuse, et il le comprendrons tout de suite quand ils verront maxime, gendre parfait , Andie m’a toujours donner des conseils à ce niveau-là, mais ils vont voir que j’ai changée !



La fin de se chapitre n'a pas encore pu être écris, savoir si cette histoire aura une fin heureuse reste un mystère, puisque je ne le sais pas moi même , elle est en cours d'écriture, mais je vous fais une promesse quand je saurais où j'en suis et que j'en verrais le bout je vous mettrais au courant.