Ma carte d'identité Bonjour petit citoyen. Je vais faire dans les règles et me présenter. Je m'appelle Thyméo-Kaël Wakerfield. J'ai fêté mon dernier anniversaire le 27 février 2012 et aujourd'hui j'ai 23 ans. Dans le monde cruel du travail je suis étudiant en droit et je fréquente souvent les Beta Theta Pi à mes heures perdues. Souvent, on me dit que je ressemble beaucoup à Alex Pettyfer Je n'ai pas la grosse tête ! Thyméo c'est plutôt le genre de mec souvent de bonne humeur, toujours très jovial et il a de la facilité à mettre les gens à l'aise en sa compagnie. Il n'est pas du genre à pleurer sur son sort alors même si quelque chose va mal, il fera genre que tout va bien. Aussi, il est loin d'avoir la langue dans la poche. Dôté d'une assez grande franchise, il n'hésite jamais à dire ce qu'il pense aux autres, et pas toujours de la façon la plus diplomate qui soit. Il a beau savoir rester cool, lorsque quelque chose lui casse les bonbons à proprement parlé, il a tendance à très vite s'énerver et vous envoyer promener bien bien loin. Lorsqu'on lui dit ou fait quelque chose qui ne lui plait pas, il sera susceptible sur le coup, mais ne boudera jamais trop longtemps. Enfin après si on lui fait un une grosse crasse, il ne va pas pardonner facilement, sauf si raison valable. Il n'est pas du genre à faire confiance et raconter sa vie à n'importe qui, même s'il paraît très à l'aise en compagnie, il reste méfiant. Lorsque quelque chose le chagrine, il a souvent tendance à noyer ses peines dans l'alcool. Sinon, c'est quelqu'un de passionné, créatif et intelligent. Lorsqu'il s'engage dans quelque chose qui lui tient vraiment à cœur, il se donne à fond. Il est très persévérant et est capable de tout pour arriver à ses fins. Il est très impatient, les surprises et tout ça, c'est pas trop son truc; il déteste attendre. Bien qu'il soit très maniaque sur lui, chez lui c'est un gros bordel, il n'a pas le sens du rangement mais il arrive toujours à se retrouver dans son bordel. Il a beau être sympa, mais parfois il peut devenir vraiment chiant lorsqu'il s'y met, cela vient de famille. Il s'avère notamment être quelqu'un de dragueur et beau parleur. Il lui arrive de lancer des tonnes de compliments à une femme, mais c'est le plus souvent dans le but de la mettre dans son lit. Autre chose à savoir, il a toujours raison, même s'il a tord, alors pas la peine d'essayer de le contredire . Sinon, c'est un garçon qui peut se montrer doux et adorable. Malgré son caractère pas toujours facile, c'est quelqu'un sur qui on peut compter, il est très loyal. Concernant ses manies, il a l'habitude de se lever assez tôt, vers les 7/8 heures environ et de se coucher très tard, ce n'est pas quelqu'un qui aime faire les grasses mat', il déteste cette sensation d'être ensuqué lorsqu'il se lèvre tard. Bon bien sûr lorsqu'il rentre de soirée à 3 ou 4 heures du matin il ne va pas se lever à 7 heures. Bref sinon, il fume comme un pompier et boit souvent des bières lorsqu'il est chez lui ou ailleurs, mais sans pour autant être alcoolo' hein ! Il aime boire son café bien chaud le matin et il est également très gourmand. Son placard et remplis de bonbons mais c'est grâce au sport qu'il pratique assez souvent qu'il arrive à garder la ligne. Physiquement, il est plutôt grand et très musclé, avec des yeux d'une jolie couleur bleue océan qu'il tiens de sa mère. Ses cheveux ne sont pas trop courts et il lui arrive de garder sa barbe de trois jours, ce qui lui va plutôt bien. Il prend assez soin de lui car c'est quelqu'un qui aime plaire aux filles..

Avoue qu'on joue à cache-cache.

Prénom/Pseudo ♢ Manon. Âge ♢ 18 ans. Pays/Région ♢ France. Comment trouve-tu le forum ? ♢ Il a l'air super et le design est très beau je trouve . Où l'as-tu trouvé ? ♢ Sur Bazzart . Un dernier mot pour OHCU ? ♢ C'est mon dernier mot Jean-Pierre .

Ce fut le 27 février de l'année 1989 que ma mère me mit au monde, dans un hôpital de la ville de Dartford en Angleterre. Même après ma naissance, mes parents étaient toujours indécis concernant le prénom qu'ils allaient me donner. Mon père voulait que je porte le prénom Thyméo. Ma mère quant à elle était en méga kiffe sur le prénom Kaël.. Bref, sur un commun accord, ils décidèrent finalement de m'appeler Thyméo-Kaël, histoire que les deux soient contents. J'étais le premier de la famille, et ils me donnèrent quatre ans plus tard une petite sœur. Une vraie chieuse casse bonbons celle-là mais bon, je l'adorais quand même, c'était ma petite sœur et elle et moi c'était fusionnel. A la maison, elle était beaucoup plus chouchoutée que moi, mais faut dire qu'elle était beaucoup plus proche de mes parents que ce que je l'étais moi. Mais c'est surtout que je voyais des choses que elle, encore dans son monde de petite fille tout beau tout merveilleux, ne voyait pas.. Ma mère était chargée de communication dans un entreprise de tourisme, et mon père était engagé dans l'armée de terre depuis ses vingt ans. Il partait souvent en déplacement mais lorsqu'il était à la maison, avec lui il fallait que ça marche droit. Un pas de travers et c'était la crise pendant une semaine à la maison. Seulement, à chaque fois que ma sœur et moi faisions une connerie, c'était ma mère qui prenait tout. T'es une incapable, t'élèves mal tes gosses.. C'était le genre de phrase qu'elle se prenait en pleine face à chaque fois que quelques choses n'allait pas. Moi, à force je ne pouvais plus le voir mon père, j'étais content quand il n'était pas à la maison. Ma sœur, ce n'était pas la même chose. Elle était trop petite pour voir le mal, elle voulait voir son papa et sa maman toujours ensemble. Je ne sais pas si c'est ce qu'il a vécu à l'armée qui l'a rendu fou mais j'avais vraiment l'impression que quelque chose n'allait pas dans sa tête. Si ma mère rataNit un plat c'était la crise, si elle faisait un pas de travers, c'était la grosse crise. Et je ne compte pas le nombre de fois où je l'ai vu lever la main sur elle alors que j'étais censé être dans mon lit en train de dormir paisiblement jusqu'à ce que mon réveil se mette à sonner pour que j'aille à l'école. Cet homme, bien qu'il était mon père, je le méprisais, pour tout ce qu'il faisait subir à ma mère. Un soir, après être allé cherché ma sœur à l'école, je rentrais à la maison où l'une de ces habituelles violentes disputes avaient encore éclatée. Je demandais à ma sœur de monter dans sa chambre faire ses devoirs, je n'aimais pas qu'elle assiste à cela. « Non, si je monte, tu vas encore taper Maman ! » avais-je lancé à mon père lorsqu'il m'avait ordonné de monter à mon tour. « C'est des histoires d'adultes, tu n'as pas à te mêler de ça, montes avant que.. » m'avait-il répondu sur un ton froid, il me faisait peur. Mais je ne voulais pas qu'il frappe encore ma mère, alors je restais bien que je la voyais me faire signe de monter. Les mots étaient sortis sans que je ne puisse les retenir : « T'es qu'un salop ! Tu n'as pas honte de ce que.. » Je n'avais pas eu le temps de finir ma phrase que je sentis quelque chose de dur abattre sur ma joue. Sur le moment, j'ai cru que ma mâchoire s'était brisée sous le choc tellement ça m'a fais mal.

Le lendemain, alors que mon soit disant père était partie au travail, j'étais descendu à la cuisine pour manger quelque chose avant d'aller à l'école. Mais à peine j'avais franchis le seuil de la porte de ma chambre, que je vis ma mère s'activer de tous les côtés avec pleins d'affaires à la main. Elle avait l'air d'avoir reçu de nombreux coups, c'était peut être parce qu'elle avait voulu me défendre la veille. « Maman, tu fais quoi ? » lui demandais-je en la suivant jusqu'au salon où je la vis enfouir le plus de choses possibles dans une grosse valise. « Va réveiller ta sœur et préparez vos valises, on s'en va. » Elle semblait sur le point de pleurer. « Mais on va où ? » lui demandais-je à nouveau en priant dans ma tête pour que mon père ne rentre pas à la maison avant que nous soyons partis. « Ta tante m'a dit qu'elle pouvait nous héberger quelques temps chez elle à Londres, le temps que je nous trouve un appartement pour tous les trois. » J'acquiesçai, puis je montais vite dans les chambres pour réveiller ma sœur et faire nos valises. D'un côté j'étais heureux de partir, j'avais hâte de commencer une nouvelle vie mais de l'autre, ça m'effrayait un peu tout de même. Lorsque nous avons quitté la maison, ma sœur a pleuré et ma mère et moi avons essayé de la consolé en lui disant que notre père n'était pas un homme bien. Cela m'a fait beaucoup de peine pour elle, elle était encore jeune et avait besoin de ses deux parents, mais vu le genre de père que nous avions, je ne voulais surtout pas qu'il s'en prenne à elle un jour.

Nous ne sommes restés pas plus de trois mois chez ma tante, une femme adorable. Ma mère s'est faite mutée à Dublin et a trouvé un appartement avec trois chambres grâce aux nombreuses relations qu'elle entretenait avec son travail. Après avoir eu mon bac, je suis allé en fac de droit. Six mois plus tard, j'ai finalement décidé de quitter le continent européen et déménager à New York, en laissant ma mère et ma sœur à Dublin. Je les contacte toujours de temps en temps pour avoir des nouvelles. Ma mère m'a beaucoup aidé dans les frais pour mon appart' mais ne voulant pas vivre sur son dos, j'ai réussis à me trouver un travail à mis-temps dans un bar pour me faire de l'argent. A New York, c'est une nouvelle vie qui s'offre à moi. Cela fait depuis désormais un an et demi que je m'y suis installé.