Ma carte d'identité Bonjour petit citoyen. Je vais faire dans les règles et me présenter. Je m'appelle Jenna July Parker mais mes amis m'appellent Jen'. J'ai fêté mon dernier anniversaire le 25 juillet et aujourd'hui j'ai 21 ans ans. Dans le monde cruel du travail je suis photographe pour un magazine de mode et je fréquente souvent les New-Yorkais à mes heures perdues. Souvent, on me dit que je ressemble beaucoup à Candice Swanepoel Je n'ai pas la grosse tête ! Je suis plutôt serviable, j'aime rendre service à mes amis et à mon patron. On me dit souvent que je suis trop gentille mais vu qu'on ne se paye pas ma tête, je ne vois pas pourquoi est-ce que je changerai ! J'ai le malheur de manquer de diplomatie quand je dis ce que je pense, donc parfois, je peux blesser les gens. Mais ils savent que je suis juste maladroite, que ce n'est en aucun cas méchant. J'aime croquer la vie à pleine dent depuis la fin de ma crise d'adolescence. Je suis également un vrai cordon-bleu, d'après mon copain.

Avoue qu'on joue à cache-cache.

Prénom/Pseudo ♢ Nina. Âge ♢ 18 ans. Pays/Région ♢ France. Comment trouve-tu le forum ? ♢ Plus que génial ! . Où l'as-tu trouvé ? ♢ Sur bazzart. Un dernier mot pour OHCU ? ♢ Pas vraiment .

« Ta mère et ton père sont morts. Ils ont succombé à leurs blessures. »

Le monde s'effondra autour de moi. Je ne régis pas tout de suite à l'annonce du médecin. Je restais là, à regarder dans le vide. Je réalisais petit à petit que je ne les reverrai plus jamais. Je relevai la tête et fixai le médecin, les yeux pleins de larmes. Ils étaient morts. Mon dieu, que c'était difficile ... Qu'avais-je fait pour mériter ça ? L'homme me dit qu'il était désolé et me demanda si j'avais un membre de la famille à prévenir. Malheureusement non. J'étais la seule survivante de la famille Parker. Je me retrouvai toute seule ... Je n'avais que quatorze ans, où allais-je aller ? Je fis non de la tête et rebaissai mon regard éclatant en sanglots. On me demandait si quelqu'un, une amie pouvait m'héberger. Là, oui mais je n'oserai jamais demandé. Je ne voulais pas déranger ... Et puis merde ! Je venais de perdre mes deux parents d'un coup, on allait quand même pas me critiqué ou me dire que je profitais de la situation ! J’acquiesçai et il m'emmena téléphoner à l'accueil. Je composai le numéro de téléphone d'une main tremblante. ça sonnait. J'attendis que quelqu'un réponde. Se fut Monsieur Mason qui décrocha.

« Bonsoir monsieur, Jenna Parker à l'appareil. Excusez-moi de vous réveiller en pleine nuit mais j'appelle de l’hôpital. Je ... mes ... parents sont mort. »

J'éclatai en sanglots. Silence à l'autre bout de la ligne après avoir juré. Non pas, parce que j'appelais en pleine nuit, parce que mon père était son meilleur ami. Je continuai, expliquant que j'avais besoin d'un toit pendant quelques jours voir semaines, le temps d'être placée en foyer. Il dit que m'accueillerait avec plaisir et qu'il venait me chercher immédiatement. Je raccrochai le téléphone et d'un simple signe de tête, fis comprendre au docteur que c'était bon. Il me dit d'aller m'asseoir en salle d'attente en attendant que Monsieur Mason vienne me prendre. J'étais assise, le regard dans le vide. Mes parents étaient morts ... J'essayais de me remémorer ma soirée. Mon père et ma mère avaient quitté la maison à dix-neuf heures trente pour aller manger chez des amis à eux. J'étais restée seule à la maison. Un film d'horreur passait sur une des chaîne du câble et je ne voulais pas le manquer. Ils m'avaient souhaitée une bonne soirée et était partie. A vingt-trois heures, la police était venue frapper à ma porte pour m'annoncer que mes parents avaient eu un grave accident et qu'ils étaient actuellement à l’hôpital. J'avais fermé la maison à clé et conduite par les policier jusque là-bas. J'avais patienté une heure et demi avant qu'on m'annonce qu'ils étaient morts. Monsieur Mason me sortit de mes pensées en me secouant légèrement.

« Viens, Jenna. On s'en va ... »

J’acquiesçai. Il avait les yeux rouges et les joues humides. Il avait pleuré. Je lui souris et me leva. Il me tînt par la main jusqu'à la voiture. Le chemin vers la maison se fit en silence. Je n'osais pas pleurer. Il gara la voiture dans l'allée et resta assis là, sans bouger, avant d'éclater en sanglots. Je lui tapota le dos, il me prit dans ses bras et me berça.

« Jenna, tu resteras ici. Tu seras notre fille, maintenant. »