Alors que je le regardais directement dans les yeux, il semblait savoir déjà que je n'avais pas envie de lui dire que son état a bel et bien empiré, alors je me suffisais de me taire pendant un instant et fermer les yeux lorsqu'il leva un peu la voix. « Je peux t'aider à te sentir mieux, Jùan. » Répétais-je après un moment.

Je remarquais le ton de sa voix, et je me sentis mal, je baissais la tête, depuis que son père a franchit le seuil de la vie de Jùan, il n'est plus vraiment le même, alors au lieu de répondre je retroussais ma manche droite pour afficher le bleu dans mon avant-bras, comme pour lui répondre que oui son état a empiré.

Assise sur ses genoux, je lui montrais le bleu que j'avais sur l'avant-bras quand il surpris cela, il se sentit mal, me poussant par terre, je frappais mon épaule contre son bureau, je fermais les yeux pour ne pas lancer de cri de douleur. « Tu sais que je n'arrives pas à te mentir. » Dis-je les yeux fermés.

Alors que je suis tombée par terre, mon épaule violemment frappé contre le bureau, et qui maintenant me fais mal, je le regardais dans cet état, mais je m'enflammais quand même je me relevais et prit mon sac. « Je suis désolée Jùan, tu ne me laisses pas t'aider. » Dis-je tristement en boitant vers la sortie.

En même temps je ne voulais pas qu'il me voit dans cet état-là, alors je fis en sorte de disparaître pendant un moment de son champ de vision, mais il ne comprit pas, et comme à son habitude, il me cria au visage, je ne supporta pas le fait qu'il pense de moi de cette façon. « Ce n'est pas comme ça que tu me feras rester. » Murmurais-je la mâchoire serrée, en claquant la porte, quelque larmes me gâchèrent la vue, mais je me retenais de pleurer, je détestes être une gamine.