Just Sist' and Broth'

W-L. Nala Denzel-Philips & I. Kelvin Denzel .

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Seul un lundi matin dans mon lit, non pas dans la chambre que je partageais avec certains étudiants de Columbia, mais chez mes parents qui résidaient le quartier Aisé de New York.
Certains weekends, je préférai rester chez mes parents au lieu d'aller en boite de nuit, non pas parce que je n'aimais pas les soirées alcoolisés entre jeune adultes, mais surtout parce que j'avais de temps en temps ce besoin de me retrouver avec ma famille, prendre un bol d'amour familiale pour pourvoir tenir le coup lorsque je suis entouré de toutes ces personnes les plus hypocrites les une que les autres. Fort heureusement que ma sœur Nala était très présente pour moi lorsque j'étais saturé de tout ce beau monde avec lequel je ne pouvais pas vraiment être moi-même, les gens devaient être au courant que j'étais une sorte de double façade puisque beaucoup d'entre eux me détestaient, non pas parce que je leur avais fait à tous du mal, mais plus parce qu'il voyait de moi un garçon prétentieux et arrogant, ce que j'étais mais il était vrai que je ne montrai pas mes plus grandes qualités aux autres étudiants nouveau ou inconnus, puisqu'au fil du temps il est très possible que plusieurs d'entre eux s'attache petit à petit à moi.
Il devait être à peine midi et je sentis de la cuisine l'odeur des bons plats que ma mère mijotait. Mes parents étaient tous deux en congé alors j'avais pris l'initiative de ne pas aller en cour pour une fois et étant un élève qui n'a aucun mal à rattraper les cours, je ne voyais pas en quoi juste une petite journée d'école buissonnière aller corrompre mon année scolaire qui pour le moment se déroulait comme le mieux du monde. La porte de ma chambre s'ouvrit légèrement, alors la lumière du jour vint effleurer ma paupière toujours fermé, qui déclencha une réaction que l'on peut appeler de reflex et de suite j'ouvris mes yeux et j'aperçus ma sœur Nala. Lorsque je pris conscience qu'elle était là pour me faire sortir de mon lit, je mis mes couvertures au-dessus de ma tête afin de ne plus être aveuglé par la lumière.